Le 14 Février, le jour de la fête des amoureux, le jour où tous les couples se retrouvent pour un somptueux rendez-vous autour d'un délicieux dîner. Le jour où tous les romantiques se tiennent mains dans la mains, ou étreints l'un contre l'autre à se raconter avec émotion leur plus beaux souvenirs passés ensemble. Ce jour là, de l'année 1984, deux bébés de la famille Riverée naquirent à l'hôpital Saint Jean . Des faux jumeaux; la mère, Anne De Villiers, tremblotait encore après les sept longues heures qu'elle avait dût supporter pour les mettre au monde, mais en somme elle les regardait avec des yeux remplis d'émotions, les deux petites têtes dépacer des couvertures humides; leur yeux étaient clos, l'un des deux entrouvrait légèrement sa bouche, laissant emettre un petit bruit sourd, manifestant son mécontentement d'être dérangé de son lit douillé et bien chaud, le second ne faisait pas un bruit, il semblait paisible ave ses petites mains qui bougeaient lentement, à la recherche de la matière humaine qu'il avait toujours connu jusqu'alors. Un garçon et une fille, comme il était prévu. Le père, Harry De La Riverée, bien trop émotionnel pour pouvoir assister au grand évènement, était resté dans les couloirs. Attendant avec impatience qu'on vienne le chercher. Quand ce fut le cas, il se dirigea lentement vers la salle d'accouchement et vit sa femme, portant leurs nourrissons dans les bras, le visage plein de sueur mais les yeux brillants de bonheur. Enzo & Abigail, ils étaient enfin là, après neuf longs mois d'attente. Celà faisait cinq mois qu'Anne et Harry savaient qu'ils attendaient des faux-jumeaux, et cinq mois qu'ils connaissaient déjà leur prénom. "Ce sera Enzo & Abigail ." Ils n'avaient pas hésités un seul instant. Après deux années de mariage, ils savaient bien les prénoms adorés de l'autre, et s'étaient trouvés en commun ces deux là. Ils s'étaient rencontrés en France, dans la magnifique Capitale, alors qu'Anne s'offrait une tournée shopping et qu'Harry cherchait un appartement à acheter. Il était décidé à vivre en France, le pays qui, depuis tout jeune, le fait rêver. Il n'avait pas forcément énormément d'argent mais assez de quoi se payer un trois pièces, et sur Paris, sait-on combien celà peut coûter cher ! Il était donc parti ainsi, à l'aventure, à l'abandon, contre la volonté de ses parents. Mais il était grand à présent, plus de la majorité, 19 ans pour être exact. Il avait un boulot à Los Angeles et saurait très bien en trouver un Paris s'il le fallait, n'est ce pas ? Après tout artiste, celà se trouve un peu partout, non ? Il se rassurait comme il pouvait, mais c'est en errant près de la Galerie Lafayette et de ses grangs magasins qu'il aperçut sa lumière. *Cette jeune femme, qui est cette jeune femme ? Elle est si...belle* Anne De Villiers observait, souriait, marchait avec grâce le long de la Galerie. Ses lunettes de soleil Dolce & Gabbana masquaient son regard mais on se doutait tout de même de son étincelle. Il lui sembla qu'elle incarnait la beauté. Entre ses mignones pomettes qui se formait par son sourire, ses petits pas sautillants dévoilant la légéreté de sa vie, et ses cheveux blonds flottant dans les airs au rythme de son élant. Il ne put résister à la tentation de la suivre, pour la regarder encore & encore, ne plus la lâcher du regard. Elles sont peut-être toutes comme ça, les Parisiennes, il n'en avait aucune idée, mais en attendant, il n'y avait qu'elle qu'il voyait. Il la suivit, même lorsqu'elle entra dans ce magasin pour riches, nommé Printemps, lequel il savait très bien qu'il n'avait aucunement les moyens de s'offrir le moindre achat là-bas. Il la vit être séduite par ses bijoux brillants dans la vitrine impeccablement nettoyée, il l'a vit essayer un collier de mille diamants, il l'a vit se le payer, et il l'a vit repartir, tressaillante de bonheur...
Douze années passèrent, Harry De La Riverée & Anne De Villiers étaient marriés depuis dix années, ils avaient eu cette même année deux enfants, des faux jumeaux qu'ils avaient nommés Enzo & Abigail. Et après sept autres années Anne mit au monde un troisième enfant, une petite fille qu'ils nommèrent Naomie. Ils vivaient 10 mois de l'années en France, dans leur résidence principale à Paris. Ils passaient les deux mois d'été en Amérique à Los Angeles, dans la demeure qu'ils avaient rachetés deux ans plus tôt. Une villa immense et inlassablement bien placée. Quand Harry était venu dans la capitale Française dans l'idée d'y emménager il n'avait pas grand chose en poche. Il était artiste, mais avait complètement changé de cap et s'était dirigé vers la médecine, après tout il n'est jamais trop tard. Dans ce monde scientifique, Harry trouva très vite sa place, il se rendit compte que son talent était bien accentué dans cette zone que pour ce qui l'avait toujours passionné jusqu'alors. Il mit cinq ans à devenir assistant médecin dans un grand hôpital et ne tardera sans doute pas à en devenir un médecin important. Heureusement qu'il a fait un bac S ( a ). Anne, elle, contrairement à son mari, n'a jamais cessé de pratiquer sa passion, l'art. De toute évidence, elle n'avait en aucun cas besoin d'un emploi pour vivre, la fortune de ses parents étaient bien torp suffisants. Mais elle ne pouvait s'empêcher de peindre, de sculter, de dessiner, de graver, etc.. Elle avait un grand talent pour la danse, et apprenait à ses filles quelques pas, quand ces dernières en avaient envie. Pour tout conclure, ils vivaient très bien, le couple ne se séparait jamais même si parfois, comme pour chacuns, il y avait quelques froids. Ils vivaient ce que 98% de la terre rêve de vivre, jusqu'au jour où, un drame éclata. Les parents d'Anne étaient décédés quelques mois plus tôt quand la jeune femme apprit qu'elle était atteinte d'une méningite bactérienne, beaucoup plus grave que la méningite virale de laquelle elle avait été atteinte dans son enfance. Tout alla très vite, quelques jours seulement après la nouvelle, elle fut suivie de très près par un hôpital de Los Angeles (c'est en Amérique qu'elle tomba malade), elle tomba dans un coma. Au début il fut de niveau 2, puis chuta à 3, pour finalement tomber à 4, le dernier niveau avant la mort. Les médecins firent tout leur possible, la maladie l'emporta. Anne De La Riverée quitta le monde le 2 Juillet 1992, inutile de préciser l'effondrement de toute la famille. Harry se retrouva avec l'immense héritage De Villiers en sa possession mais s'il aurait put choisir, il aurait échanger sans aucun hésitement la vie de sa femme contre tout cet argent. Dés lors, il ne fut plus jamais le même, il devint un homme bien plus courageux, plus fort, il accomplit plus d'efforts en quelques mois qu'il n'avait jamais eu à faire tout le long de sa vie. Il prit une pause dans son métier, malgrè le haut rang qui l'attendait, et éduqua ses enfants à pleins temps, en prenant toujours soin qu'aucun manque maternel ne leur survienne, même si bien sur celà était tout bonnement impossible. Il fit l'effort de ne jamais manquer de tact ni d'humour, qu'en grandissant, ses enfants puissent lui parler de leur eventuel problème, que leur relations ne sois pas stopper à un "Bonjour-Aurevoir" comme beaucoup de parents Parisiens riches ont avec leur gosses.
25 Décembre 2008, la famille de la Riverée est rassemblée autour d'un repas digne d'un festin grandiose, comme chaque années lors de la Cérémonie de Noêl. Beaucoup de choses ont changés depuis le décé d'Anne. Enzo a bientôt 25 ans, il est en ce moment en dernière année à Gaumont, interne. Il se trouve assis entre son père et sa soeur jumelle. Cette dernière grignotte lentement le reste de ses Blinis de pommes de terre et discute de temps à autre avec Enzo ou sa cousine, assise juste à sa droite. Son père, lui, est en plein discours avec son propre père, une grande discution sur les probabilités qu'une nouvelle guerre mondiale puisse se produire. Enzo, quant à lui, a finit son plat, et observe toute sa famille installée à cette grande, graande table, tous en train de parler joyeusement, tous, sauf une. Le regard d'Enzo reste fixé sur sa petite soeur, Naomie. Celle-ci écoute son baladeur, immobile, elle n'a pas touché un seul morceaux de tous les plats qui lui ont été servis. Ses yeux semblent plongés dans le vide et son décolleté laisse entrevoir le début de sa poitrine. Le jeune homme sentit son coeur se serrer, il adorait ses soeurs, elles avaient toujours été très proches de lui. Malheureusement, Naomie a mal tourné, elle s'est mise à fumer bien plus que de simple cigarettes, bon ça okay, après tout il faut avouer qu'Enzo fume lui aussi de temps en temps autre chose que du tabac normal. Mais elle a commencé à sécher les cours, de plus en plus, puis fuguer, ça aussi de plus en plus, elle menace de partir loin, de foutre sa vie en l'air. Elle fait des crises d'angoisse et de tétanie, elle dit se ficher complètement de mourir ou pas. Bref, la total. Le pire c'est qu'elle dit que personne ne peut rien pour elle, et ça, son frère en est malade ! Complètement dingue ! Ses soeurs sont ses essentiels dans la vie, il les a toujours suivit et les suivera toujours, il ne veut surtout pas qu'il leur arrive quoi que ce soit de mal et elles le savent. Mais il ne sait plus où donner de la tête avec Nao', au fur et à mesure que le temps passe, la jeune femme plonge dans le gouffre. Si elle finit par tourner vraiment mal, Enzo s'en voudra toute sa vie, et c'est une grosse partie de lui qui s'anéantira. A nouveau. Elle est rebelle, et ça depuis toujours c'est son caractère, d'ailleurs c'est parfois adorable, on ne sait pourquoi ni comment mais ça l'est. Seulement il y a des limites, Nao' les a franchit à grands pas. Ouh là, Enzo se secoua la tête vivement et tenta de s'évader de ses pensées. Il était décidé : Tôt ou tard, il sortira sa soeur de là.
Bref à côté de ça, Enzo a comme une seconde vie, celle qu'il passe au CFC Gaumont. Vous savez ! Ce monde de cinématographie dont Enzo ne peut se passer, et bien la voilà. Nous sommes en Mai 2009, il y a deux jours, Enzo a dévoilé à la personne qu'il aime que ses sentiments qu'elle entretenait à son égard étaient réciproques. Au départ, la jeune femme ne l'a pas crut, au regret du jeune homme, mais comme il n'est pas du genre à laisser tomber pour si peu, surtout quelque chose d'aussi important, il l'a embrassa afin de lui prouver que ce qu'il dit n'est que la pure vérité. Finalement, les deux tourtereaux ont dut se quitter sur cette magnifique note finale. Depuis, il y a eut le week end, ils ne se sont pas encore revu. Enzo n'a cessé de penser à sa belle tout le long des deux jours, que ce soit de nuit ou dans la journée. Il songea à ce sourire si charmant, qu'elle avait d'ancré sur les lèvres. De ce regard à la fois perçant et doux qu'elle plonge dans le sien. De ces longs cheveux bruns qui tombe sur ses épaules en cascade. De ces pas dôtés d'une grâce impossible à égaler. De cette voix, pure et sensuelle qui résonne en lui comme un agréable chant . Il voulait lui reserver la surprise de conclure qu'ils étaient en couple, en allant l'embrasser dés qu'il la verrait, le matin même. En espérant qu'elle ne lui fiche pas un vent ^^", mais à prioris, ce ne serait pas le cas. Quelques temps plus tôt, lorsque la jeune femme lui avait déclaré son amour, le beau blond était resté de marbre, en réalité il n'avait sut comment réagir face à une telle surprise. Et s'il s'en était rongé les ongles de regret pendant toute une semaine, ce n'était pas pour rester à rien faire, maintenant que lui aussi avait franchit le pas et s'était excusé. Oui, il en était sur à présent : il l'aime. Et il fera tout pour qu'elle n'en doute plus. Il fera tout pour son bonheur.

_ prénom ` » Gladys
_ age ` » Entre 10 & 100, cherche bien ; )
_ comment avez-vous connu le cfc ` » Par Duncan, le cher ami .
_ quelque chose à ajouter ` » Hâte de commencer !
_ avatar ` » Heath Ledger .
_ groupe ` » Interne .