Parler de sa vie ? Oh, elle n’est pas plus banale que celle d’une autre, la vie typique d’un enfant de riche habitant en plein Paris. Car Maël Denton, fils de Paul Denton, requin des finances et d’une mannequin, est né avec une petite cuillère en or dans la bouche. Son père, millionnaire, était un homme qui, pour combler les absences à répétitions dans la famille, donnait tout ce qu’il voulait à son fils : argent, voiture, tout et n’importe quoi. Etant dans le caractère de Maël de profiter des gens, il ne crachait pas sur les cadeau de son père et se retrouva très vite – vers l’âge de 16 ans – avec son propre appartement, concierge en bas, dans lequel il aimait donner des fêtes assez spectaculaires où l’alcool et la drogue allaient bon train. Bref, le jeune homme eut une jeunesse plutôt « cool » dans laquelle il s’amusa autant qu’il pouvait. A l’école, il faisait partit des plus mauvais élèves. Préférant squatter les toilettes du lycée privé pour se fumer un join que d’aller en maths pour suivre une leçon des plus ennuyeuse, il n’avait pas souvent la moyenne. Heureusement qu’une fois encore, papa passait derrière pour arranger les choses et soudoyer les profs. C’est d’ailleurs de cette façon qu’il eut son BAC, alors qu’il passait plus plus clair de son temps à sortir ou à aller au cinéma. Car Maël, dans la vie, ne s’intéresse, mis à part les fêtes, qu’à une seule chose : le cinéma. En effet, depuis son plus jeune âge, il adore ce genre. Délaissant bien souvent les livres pour les films, il passe une grande partie de son temps assis sur un fauteuil de cinéma ou derrière sa télévision. Chaque détail de film, angle de caméra, prestation d’acteur ne lui échappe. C’est une passion pure qui pourtant ne trouve aucune explication avec son passé. Il aimerait être acteur, ou réalisateur. En fait, il se suffirait dans n’importe quel métier du cinéma. C’est sa passion et c’est pour cela qu’il est rentré à cfc. Ainsi, son père, par son argent, lui décrocha une place dans cet établissement où il suit maintenant ses cours...

borné – lunatique – dépravé – colérique – impulsif – infidèle – jaloux
Voilà comment on peut qualifier ce jeune homme. Maël passe son temps à faire la fête, à vrai dire, il adore ça et c’est ce qui occupe le plus de place sur son agenda. Les cours, tant qu’ils n’ont pas de rapport avec le cinéma, il s’en fiche, s’en contre fiche. Vous ne l’y verrait d’ailleurs que très rarement et seulement pour faire plaisir à papa. Mais ne le voyez pas comme un jeune homme aimant faire la fête et rigoler car il n’a pas du tout les mêmes centres d’intérêt que vous. Ce qui le fait rire peut très bien être le malheur qu’il vous causera. Colérique, il lui arrive de sombrer dans des excès de rage assez dévastateurs. Quand il a une idée en tête, il est impossible de la lui enlever ; ses objectifs, il parvient toujours à les mener à bien. Il a toujours eu ce qu’il voulait et l’aura toujours, qu’importe si il doit blesser pour y arriver. Infidèle, il préfère les relations d’une nuit plutôt que la longue durée qui l’ennui plus qu’autre chose. Il aime pourrir la vie des gens, c’est sûrement son principal amusement. Il est aussi très jalouse et ne supporte pas la concurrence. Mais Maël n’est pas non plus entièrement ce personnage exécrable qu’il aime tant cultiver. Car s’il a des amis ( personnes qui seront des gens fort respectables pour se le traîner ), ils passeront avant tout et sera toujours présent pour les aider. Avec la personne qu’il aimera ( si tenté qu’il en ai une un jour ), il se montrera tendre, attentif voir même romantique. Bref, vous l’aurez compris, Maël est un personnage lunatique et atypique dont il est dure de cerner le caractère.
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Maël est, comme toutes personnes ici, un passionné par le cinéma. Passant beaucoup de temps à regarder des films, à lire des biographie de réalisateur, on peut dire qu’il est calé sur le sujet. Sans avoir eu de personne l’ayant poussé dans cette voix, il s’y est intéressé tout seul et on peut être fier du résultat. Maël n’a pas de réalisateur préféré, il en a plusieurs : Aussi bien les univers assez intimes et personnels de Pedro Almodovar ( Talon aiguilles ; Tout sur ma mère… ), que ceux étranges de David Lynch ( Lost Highway ; Twin Peaks ; Mulholland Drive … ) ou encore les univers violents de Tarantino ( Kill Bill ; Pulp Fiction ; Reservoir Dogs… ). Bien qu’il n’ait pas de réalisateur propre, son film péféré est incontestablement : Les lois de l’attraction. Sinon il aime presque tous les genres de films, sauf ceux d’horreur qu’il ne peut pas supporter, mais préfère vraiment ceux un petit peu compliqué voire prise de tête comme Pulp Fiction, Fight Club … ou des incontournables comme Le Parrain.