_ papiers d'identité `

Joaline Elisabeth Caillat

_ nom ` » Caillat _ prénom(s) ` » Joaline Elisabeth _ surnoms(s) ` » Jolie, Jojo _ age ` » 21 ans _ situation ` » Célibataire

Le 29 Août 1989, sans faire un grand speech, Joaline naissait. C’était à l’hôpital de St. Julien, en Haute-Savoie. Les parents du nourrisson habitaient dans l’Ain, à la frontière Suisse. Joaline y a vécu jusqu’à ses 18 ans (en gros, jusqu’à ce qu’elle obtienne son bac). Tiens, parlons-en de sa scolarité ! Elle a toujours été une bonne élève, qui se consacrait malgré tout, une soirée par semaine à de la détente, une soirée entre amis ou une fête phénoménale ! Ses parents ont divorcé quand elle avait 10 ans, une période très ardue pour elle, rendue plus tragique encore par le remariage quasi-immédiat de sa mère avec un cubain, qu’elle avait rencontré en vacances, une année plus tard. C’est uniquement pour sa mère qu’elle alla au mariage, refusant néanmoins d’être son témoin. Etrangement, le mariage dura, et Joaline a une petite sœur de 11 ans, aujourd’hui, qui se destine, comme Tati Jojo à être « faiseuse de films ! ». Car oui, bien qu’ayant du mal avec son beau père, Joaline adore sa sœur. Elle passe parfois des après-midi entières avec elle, à lui faire voir ses films préférés, etc. Le cubain en question, est très jeune, il a 35 ans, et sa mère en a 40. C’est d’ailleurs en parti pour ça que Joaline n’a pas approuvé l’union entre ces deux adultes. Sa mère avait 18 ans quand elle a accouché de Jojo, pourtant, la petite ne peut s’empêcher de se dire que malgré son jeune âge à cette époque, elle ne savait pas, et ne sait toujours pas ce qu’elle veut ! Elle peut sans doute se considérer chanceuse d’avoir eu une fille si assidue, et aimable, car sinon Joaline serait certainement, actuellement dans la rue !

A ses 18 ans, Joaline partit s’installer à Lyon, sachant qu’elle aurait besoin d’un an pour réfléchir à l’établissement qu’elle souhaitait intégrer. Elle voulait réaliser des films, mais cela n’était encore qu’un fantasme pour elle ! Blondie rencontra un jeune homme, Alexis, avec qui elle partagea plus qu’une simple amourette, durant pas loin de 9 mois. Mais quand elle lui annonça qu’elle déménagerait à Paris l’année suivante, pour étudier la cinématographie, et devenir réalisatrice de films, elle le quitta.


« T’es folle ou quoi ? T’as réfléchi au fait que t’étais qu’une petite frenchie de plus dans cette jungle ? » Il insista avec un accent dénigrant sur « Frenchie ».

« Non je ne suis pas folle, et oui j’y ai réfléchi ! Mais tu crois quoi, que je compte rester ici toute ma vie ? »

« Avec moi, j’espérais… »

Le jeune brun posa un genou à terre, prit la main de Joaline, et lui jetta ce regard transperçant qui l’avait séduite au premier instant — cependant, sa demande aurait sans doute été plus crédible s’il avait acheté une bague. Pendant plusieurs minutes, Joaline resta stoïque, le regard dans le vide, imaginant sa mère dans la même situation qu’elle. Il la demandait en mariage sous un coup de tête, par pûr égoïsme pour ne pas qu’elle parte.


« Sors d’ici »

« Hors de question Joaline, pas avant que tu ne m’ai donné une réponse…

Voyant un silence sur les lèvres de Joaline, il continua :

…m’aimes-tu ? »

Joaline sentit les larmes lui monter aux yeux, l’une d’entre elle réussit à s’échapper.

« Sors ! »

Lui cria-t-elle, en le poussant dehors tant qu’elle le pouvait. Elle referma la porte, s’appuya dessus, car il essayait de la pousser pour revenir. Elle ferma le verrou, qui fit un énorme « Clac, cloc ! » et se laissa glisser le long de la porte, en finissant assise par terre, contre celle-ci, les mains cachant son visage honteux. Levant les yeux au ciel, Joaline aperçu un portrait des deux amoureux l’un contre l’autre, riant. Elle se leva, ouvra sa fenêtre, et le jeta dans un carton. Réunissant toutes les affaires du jeune homme dans celui-ci, elle attendit une journée, appela la mère d’Alexis, il était chez elle. Elle lui déposa les affaires devant la porte. A ce moment là, il sortit et la tînt fermement au poignet.


« Je pars à Paris à la fin de la semaine, je suis désolée… »

« Je ne voulais pas que ça se finisse comme ça, tu sais… »

« C’aurait pu ne pas se finir, mais c’est trop tard. »

Sur ce, Alexis leva la main de Joaline, prit l’autre et enlaça sa nuque avec. Elle ne lutta pas. Il attrapa ses hanches, les colla à lui, et l’embrassa tendrement. Un baiser d’adieu. Ce baiser dura longtemps. Joaline n’osa pas regarder Alexis ; il lui leva le menton, et lança.

« Tu ne m’as pas répondu, avant-hier. »

« Oui je t’aime… »

Une nouvelle larme, ouvrant une réelle trappe à l’océan coula sur sa joue. Il l’essuya avec ses lèvres, et la serra dans ses bras.

« Moi aussi, je t’aime. »

C’est ainsi que Joaline partit à Paris, CFC Gaumont l’attendait, les portes grandes ouvertes.

Passionnée. Tant en amour qu’au travail, Joaline est du genre à ne pas avoir honte de ses opinions, de ses sentiments. Avec elle, c’est tout noir ou tout blanc, mais elle exprime les choses telles qu’elles sont sans prendre de gants, pour le bien de ce qu’elle aime.

Impulsive. Lisez l’histoire, si ce n’est déjà fait. Un évènement peut déclencher l’hystérie, les larmes ou la violence chez Joaline. Il est pratiquement impossible d’anticiper avec elle, elle est si imprévisible ! Enfin, essayez toujours, vous verrez bien où cela vous mènera !

Hypersociale. Des amis, Joaline est loin de les compter sur les doigts de sa main, elle rencontre quelqu’un, à moins qu’il l’ait tamponnée à un feu rouge, elle l’invitera à une fête où ses amis seront présents, et lui donnera son numéro de portable dès qu’elle aura vérifié qu’il est bien intentionné.

Incertaine. Vous pourrez la flatter, la consoler, l’écouter ou la choyer, rien n’y fera. Joaline a un continuel besoin de se remettre en question, de vérifier qu’elle est bien là où elle devrait être. Elle a vu tant de monde se tromper et en souffrir (y compris elle) qu’elle ne le supporterait pas, encore.

Egoïste. Enfin, dans la limite de l’acceptable. Disons qu’elle l’est surtout au niveau social. Elle ne supporte pas le « vol d’amis par la malhonnêteté ». Vous ne voyez pas de quoi je veux parler ? Hum, disons que les gens qui parlent dans son dos ont le don d’agacer au plus haut point Joaline !

Dramatique. Une mauvaise note, une réflexion sur son physique, une déclaration d’amour, toutes ces petites situations qui provoquent des scènes dignes des films préférés de Joaline. Ses réactions sont causées, sans doute, par son impulsivité et son manque de confiance en elle. Quoi qu’il en soit, ça se soigne ?!

Le cinéma, Joaline n’est pas tombée dedans quand elle était petite, elle n’aimait que les Walt Disney jusqu’à l’âge de 10 ans, c’est à cet âge qu’elle alla d’ailleurs pour la première fois voir un vrai film avec sa meilleure amie. Le charme opéra. Tous les mois, elle y allait, puis toutes les semaines vers l’âge de 16-17 ans. Ses camarades de classe n’en revenaient pas, elle connaissait plus de films qu’ils n’auraient osé en regardé dans toute leur vie ! Quand elle organisait une soirée, souvent ses meilleurs amis venaient en premiers, dans l’après midi pour se regarder un film, et les autres venaient le soir, ne comprenaient pas de quoi ils rigolaient ou débâtaient.
Les genres de films que Joaline aime sont évidement ceux à l’eau de rose, mais surtout ceux d’action. Les pornographiques et films d’horreur sont rangés au font de sa tête, dans une boîte à chaussure intitulée « A ne jamais ouvrir ». Elle les trouve dénués de sens, de scénario, surtout les pornographique. Mais certains films d’horreur sont tellement incompréhensibles…
A l’âge de 17 ans environ, elle voulait être actrice, mais y renonça rapidement, arrêtant de se leurrer sur ses chances de percer dans ce milieu. Ce qu’elle voulait vraiment, c’était d’être Scénariste, ou Réalisatrice, selon ce dans quoi elle excellerait ! (CF Histoire, réaction de son petit ami) Mais ce rêve lui aura couté plus que ce qu’elle n’aurait souhaité. Sa relation avec son petit ami s’est terminée à cause de ce rêve, mais surtout de la distance qui les séparerait.

_ pseudo ` » B l o n d u x *
_ prénom ` » Juliette
_ age ` » 14 ans
_ comment avez-vous connu le cfc ` » Par une news letter de Avatars en Folie (j'crois ^^')
_ quelque chose à ajouter ` » Nop'
_ avatar ` » Hilarie Burton
_ groupe ` » 3° Année